En début d’année j’écrivais mon programme de stages pour les mois de mars à octobre.
Ce n’était pas confortable, je n’avais plus de lieux à moi pour la saison à venir. Les programmations n’étaient pas fluides. J’ai fini par lâcher, je n’avais pas l’énergie.
Un Musée m’a contactée au même moment pour me proposer d’exposer tout l’été…L’univers pourvoyait à ma difficulté du moment en me proposant une autre forme de rémunération.
Puis les tambours se sont manifestés dans une grande fluidité, car je n’avais aucune attente.
Les stages programmés en forêt de Moulière et ailleurs ne se remplissent toujours pas…cela me va aujourd’hui.
L’univers sait bien mieux que moi ce qui est juste pour moi.
Dans les moments de transition il est nécessaire de faire du vide en soi pour cicatriser ce qui doit l’être …
“Remplir” pour des raisons économiques, mais surtout animée pas des peurs, les espaces de transition est une façon de ne pas vouloir se relier à ses émotions. Sur le chemin sur lequel je suis depuis de longues années j’ai appris à m’écouter et à ne pas faire fi de celles-ci, il est essentiel de les accueillir car se sont elles qui laissent passer la lumière. Ce vide que j’ai accueilli a permis de donner naissance aux tambours. Tout est juste tout le temps !
J’accueille vos commande de tambours avec joie et gratitude car elles sont justes pour moi et elles mettent en lumière une femme dont la sagesse doit se réveiller et se transmettre. O Mitakuye Oyasine.