L’année 2018 commençait avec l’impression de mes photographies avec le procédé de la risographie. Lesquels tirages j’ai transformé en luminaires.
Durant l’année écoulée, les expériences photographiques autour du végétal ont animé mes journées.
2019 commence aussi de façon photographique puisque j’expérimente depuis deux mois le cyanotype. Une amie m’en avait parlé il y a un an, mais j’étais branchée sur la risographie et donc je n’avais pas retenue l’idée.
Le cyanotype est toujours un procédé photographique qui offre une grande liberté de création. La couleur est quasi immuable, c’est ce magnifique bleu de prusse. Il reste néanmoins possible d’apporter des nuances dans les bleus et de trouver des teintes marrons.
Le végétal reste toujours mon sujet photographique préféré. Et une véritable alchimie s’opère entre le papier (japonais, bien sur), le minéral, le végétal et la lumière à chaque tirage. On ne sait absolument jamais ce qu’on va découvrir au moment de la fixation de l’image. Il n’y a jamais d’erreur il n’y a que des surprises et quelles surprises !
Je vous montre ici en photo les trois étapes principales du cyantotype. Vous aurez compris, la belle image contrastée en bleu et blanc, n’est pas forcément ce qui m’attire le plus dans le procédé. J’utilise le cyanotype davantage comme une expérimentation qui peut conduire à une oeuvre plastique à la limite de l’abstrait, avec des nuances de couleurs et de matières.
Ma page facebook et instagram donnent des illustrations plus précises de mes expérimentations…
La suite de cette belle aventure prochainement.